Révélation Classique de l’Adami 2019 et tout récent lauréat du CNSMD de Paris, où il a étudié dans la classe de chant d’Élène Golgvit, le jeune baryton Edwin Fardini se voit rapidement proposer des engagements comme soliste auprès d’orchestres et institutions prestigieuses, en témoignent ses grands débuts lors de la saison 2019/2020 aux prestigieux Teatro alla Scala de Milan (rôle de Paris dans Roméo et Juliette de Gounod) et Festival de Glyndebourne (Deuxième Commissaire dans les Dialogues des Carmélites de Poulenc et Deuxième Prisonnier dans Fidelio de Beethoven), mais encore le Requiem de Brahms sous la direction de Raphaël Pichon, Les Sept péchés capitaux de Kurt Weil au Théâtre du Châtelet, ou ses récentes apparitions dans Manfred de Schumann avec l’Orchestre de Paris dirigé par Daniel Harding et le Requiem de Brahms avec le Webern Symphonie Orchester et l’Orchestre du Conservatoire de Paris dirigés par Patrick Davin.
Lauréat de la Fondation de l’Abbaye de Royaumont et de la Fondation Daniel et Nina Carasso en 2016, jeune artiste en résidence à l’Académie du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence en 2017 (résidence Pinocchio), il fonde en 2018, avec Mariamielle Lamagat (soprano), Adèle Charvet (mezzosoprano) et Mathys Lagier (ténor), L’Archipel, ensemble à géométrie variable avec lequel il a été en résidence à la Fondation Singer-
Polignac. Affectionnant particulièrement le répertoire de la mélodie, du Lied et de l’oratorio, qu’il façonne auprès des pianistes Anne Le Bozec et Susan Manoff, ainsi que du baryton Stephan Genz et de la mezzo-soprano Janina Baechle, il s’est déjà produit aux côtés des pianistes Anne le Bozec, Tanguy de Williencourt ou encore de Clément Mao-Takacs et du Secession Orchestra, au Grand Salon du Musée de l’Armée, au Théâtre de l’Athénée, au Festival de Royaumont, ou encore au Festival Les Athénéennes de Genève, dans des programmes très différents.